De l'environnement, sans la morale

de l'environnement, sans la morale Depuis cinq ans, "Pelicam", le festival de film sur l'environnement et les gens qui le peuplent, a amorcé des changements de comportements insidieux et sur le long terme en matière d'approche de l'environnement

Après la main verte, c’est le look, les idées et les tendances verts qui sont dans le vent, surtout en milieu urbain et les Roumains n’y font pas exception en Europe. Mais combien de conviction y a-t-il dans tout cela ? Depuis cinq ans, un oiseau, unique en son genre, tente d’expliquer au Roumains et aux Européens de l’Est pourquoi les mots et le paraître sont bien, mais un peu plus d’attention sinon d’implication effective sont encore mieux, s’il s’agit d’approcher l’endroit où l’on évolue. « Pelicam », avec un m, se recommande comme un Festival du film sur l’environnement et les gens qui peuplent celui-ci, mais on ne saurait le réduire à la case festivalière. Fait par des jeunes pour des esprits ouverts ou qui veulent s’ouvrir, Pelicam a amorcé des changements insidieux de comportements et même des transformations au sein de la petite ville qui l’accueille, Tulcea, dans le sud-est de la Roumanie, à l’entrée du Delta du Danube. Les films environnementaux, quel impact peuvent-ils avoir en dehors de la salle de projection ?  Comment arriver aux gens en évitant la morale ? Comment faire pousser un festival de la sorte et combien écologique est-il, lui-même ?

Explications sur la force d’un tel festival régional de faciliter des prises de conscience avec Benjamin Ribout, journaliste, créateur et directeur de Pelicam, le professeur des universités et ex-ministre de la Culture, Vlad Alexandrescu, et le journaliste suisse Noël Tamini.


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Publicat: 2016-06-16 17:09:00
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