Callatis était une colonie économique importante, qui avait sa propre production agricole et qui frappait sa propre monnaie. Cette ancienne cité représente un important repère historique et culturel de la province de Dobroudja et du littoral roumain de la mer Noire
Il est connu pour son intérêt pour la logique mathématique, la logique algébrique et les équations différentielles. Il est aussi réputé pour son activité pionnière en matière de science des ordinateurs en Roumanie.
Sarmizegetusa est un symbole essentiel de l’identité et de la continuité historique du peuple roumain, étant le toponyme commun de deux sites archéologiques distincts, mais profondément connectés par l’histoire: la Sarmizegetusa Regia, l’ancienne capitale du Royaume dace sise dans les Monts d’Orăștie, et la Ulpia Traiana Sarmizegetusa, fondée par les Romains dans la Dépression de Hațeg après la conquête de la Dacie.
Le café « marghiloman » a été extrêmement populaire en Roumanie jusque vers la moitié du XXème siècle, mais il est quasiment ignoré par les adeptes actuels du café. Le nom de la boisson est inspiré par celui de la famille des boyards Marghiloman, qui compte parmi ses membres des hommes politiques, des militaires et des fonctionnaires de l’État roumain, l’homme politique conservateur Alexandru Marghiloman ayant été le plus connu d’entre eux.
L’industrie automobile roumaine d’avant 1989 a produit entre autres une voiture moins connue, la Dacia 500 Lăstun (Hirondelle de fenêtre). Un projet développé vers la fin des années 1980, bien que les premières sources d’inspiration soient apparues au début des années 1970. Imaginée pour les jeunes familles, la Dacia Lăstun était une petite auto, qui ne consommait que peu de carburant.
La radiodiffusion doit au magnétophone une partie importante de son fonctionnement à travers le temps.
Historien, critique littéraire, documentariste, dramaturge, poète, Nicolae Iorga (1871-1940) a été une des personnalités les plus importantes de la culture roumaine. Mais Nicolae Iorga a présenté aussi une émission à la radio publique roumaine, « Conseils dans le noir », lancée en mars 1929.
L’archéologie étudie le passé de la société humaine en récupérant et analysant la culture matérielle et les informations fournies par les artefacts, les documents, l’architecture ou les paysages culturels découverts. Autrement dit, elle cherche à déchiffrer le mode de vie, les croyances et les coutumes des temps passés, en étudiant les traces disponibles de nos jours.
Certaines des institutions culturelles de l’État roumain moderne se sont inscrites dans la continuité, reprenant l’héritage du passé ; d’autres ont été fondées grâce à l’ambition et la persévérance de gens passionnés. Parmi ces institutions culturelles, la Bibliothèque de l’Académie roumaine est une enseigne prestigieuse dont l’existence est liée à de telles personnalités, dont son directeur Ioan Bianu.
Symbôle de la révolution anti-communiste de 1989, la ville a été désignée en 2023, capitale de la culture européenne.
Hillel Manoach, homme d’affaires influent de la première moitié du XIXème siècle, a eu ses racines dans la communauté séfarade du Bucarest multiculturel de son époque. Manoach s’était profondément impliqué dans la relation tissée entre le monde des finances et les projets politiques de ces temps-là, dont principalement l’édification de la Roumanie moderne. Portrait.
« Le Jour du Roi ou de la Royauté », a représenté le Jour national de la Roumanie, célébré le 10 mai entre 1866 et 1916 et ensuite de 1918 à 1947.
Parmi les voyageurs étrangers qui ont traversé l’espace roumain au 19e siècle a figuré aussi le lithographe, graveur et illustrateur français Dieudonné Auguste Lancelot. Il a réalisé des représentations des endroits qu’il a visités et qui sont actuellement des sources d’images précieuses pour l’histoire des Roumains du siècle des romantiques.
En 1985, en pleine Roumanie communiste, alors que l’espace public se fermait progressivement à toute expression artistique authentique, cinq peintres ont décidé de faire de l’art une forme subtile de résistance.
Les visites en Roumanie du Saint pape Jean-Paul II en 1999 et du pape François en 2019 ont été des événements religieux, mais aussi des repères historiques.