Toute grande ville a un kilomètre 0, où commencent le calcul symbolique et physique des distances et l’organisation de l’espace urbain. Dans le cas de Bucarest, ce point se trouve sur la vieille rue Colțea, où la ville actuelle semble avoir eu sa source.
Les photos réalisées par Franz Duschek, un remarquable photographe tchèque qui a vécu et travaillé à Bucarest de 1862 à 1883, proposent une vision unique sur les transformations sociales et urbaines de la ville au 19e siècle. Voyage dans le passé.
Le nom de la famille Cerchez occupe une place à part dans l’histoire de l’architecture roumaine. C’est de cette famille que sont issus cinq architectes importants, auteurs de bâtiments emblématiques de la Capitale roumaine, Bucarest. Patrimoine architectural.
La famille Rațiu est une des familles nobiliaires les plus anciennes et les plus respectées de Transylvanie, avec une histoire qui s’étend sur plusieurs siècles et des racines datant du 14e siècle. Le nom Rațiu est étroitement lié à la lutte pour les droits des Roumains de Transylvanie et pour la sauvegarde de l’identité nationale face aux politiques d’assimilation. Histoire d’une famille.
Sur la rive droite du Danube, à proximité de la ville actuelle de Cernavodă, l’on peut voir les ruines d’une agglomération humaine que les textes antiques mentionnent sous le nom d’Axiopolis. L’existence de ce centre urbain s’étend sur plusieurs centaines d’années, depuis l’époque hellénistique, entre les IVème et Ier siècle avant J. Ch., jusqu’à environ le VIème siècle de notre ère.
Au nord de Bucarest, le Parc de Kiseleff est devenu un véritable modèle de bonnes pratiques en matière de gestion des jardins historiques, tout cela grâce au projet Agora Kiseleff qui propose des événements interdisciplinaires censés mettre en valeur ses richesses naturelles.
Une rue du centre ville de la capitale qui doit son nom au boyard Pătrașcu Brezoianu, qui a reconstruit au début du XVIIIème siècle l’église qui portera son nom.
Incursion dans l'histoire de la ville de Bucarest
L’historien Tudor Dinu s’est intéressé à la présence des bains d’inspiration turque et des villes ou stations d’eaux dans cet espace roumain pendant la seconde moitié du XIXème siècle.
Le Musée de la ville de Bucarest a organisé une exposition de livres roumains datant du 17e siècle au début du 19e siècle, ayant comme thème les armoiries princières et les versifications que ces ouvrages contenaient.
Dans l’espace médiéval roumain, l’érudition et tout ce qui était liée à l’enseignement ainsi qu’à l’écriture et à l’impression de livres étaient concentrés à l’intérieur et autour des monastères. Ce fut le cas du monastère Sinaia, sis dans la station montagnarde homonyme de la Vallée de la Prahova. Avec son architecture impressionnante, ce lieu de culte orthodoxe s’est aussi fait remarquer par son association avec une importante famille princière et érudite des Cantacuzène.
Le prince Dimitrie Cantemir a lu et écrit des ouvrages dhistoires, de géographie, de musicologie, de philosophie et de littérature, devenant membre de lAcadémie des sciences de Berlin.
Le médecin Gheorghe Marinescu est le fondateur de la neurologie dans l’histoire de la médecine roumaine, dans une clinique de l’hôpital Colentina de Bucarest. Il fut le premier à soigner des patients souffrant de troubles neurologiques à la fin de la Première Guerre Mondiale. Portrait.
L’histoire de l’église roumaine de Jéricho commence en 1988, lorsque l’idée d’un établissement monacal vit le jour.
L’histoire du livre grand public commence dans l’espace roumain dans la seconde moitié du XIXème siècle. La vente et l’achat de livres se développent en rapport avec la dissémination de l’enseignement primaire et la baisse de l’illettrisme et, plus généralement, comme une conséquence de l’apparition et de la consolidation de l’Etat roumain moderne.