Comment l’idée d’une cathédrale nationale orthodoxe, destinée à représenter l’ensemble du peuple roumain, est-elle née ?
Parmi les sources qui évoquent l’espace roumain médiéval, figurent aussi les écrits du chroniqueur et diplomate serbe George Brankovici.
Le plan de transformation radicale de la Roumanie du parti communiste a également inclus la culture. La nouvelle culture socialiste n’était en aucun cas une culture libre, mais bien son opposé : une culture violente et répressive, qui censurait brutalement le présent et surtout le passé. Ainsi, dans les bibliothèques publiques roumaines, des fonds secrets ont été constitués, rassemblant des livres, brochures et publications interdites, parus pour la plupart avant 1945-1948.
L’histoire de la Bibliothèque de l’Académie Roumaine épouse celle de l’institution-mère, et plus largement, celle du pays lui-même. Les périodes de prospérité ont alterné avec les temps sombres, affectant à la fois sa mission et le destin de ceux qui y travaillaient.
Parmi les roumains vivant au-delà des frontières nationales, ceux de Croatie, plus précisément de la péninsule d’Istrie, sont sans doute les moins connus. La raison en est simple : ils sont les moins nombreux de tous les groupes roumains qui vivent hors de nos frontières et géographiquement les plus éloignés du noyau compact formé autour de l’arc carpatique et du bassin du Danube. Découverte.
La Gendarmerie roumaine est une des institutions de l’Etat roumain les plus anciennes, dont les premières unités ont été créées en 1850, avec pour principale mission : assurer l’ordre public. Mais les gendarmes roumains ont également participé aux deux guerres mondiales. Histoire.
Né en 1900 à Bacău, dans une famille d’intellectuels, il était docteur en droit de l’Université de Leipzig, en Allemagne. Acquis aux idées marxistes dès 1919, auteur de textes de droit, d’histoire, de philosophie, de sociologie et d’économie, il est considéré comme l’un des fondateurs du Parti communiste roumain.
En 1921 le Parti communiste roumain voyait le jour en tant qu'agence du Komintern. En 1924, il était placé hors la loi, sous accusation, entre autres, de „démantèlement” de la Roumanie. Entre 1924 et 1944, le Parti communiste roumain a fonctionné dans l'illégalité et ses membres ont mis en œuvre tout ce qui était nécessaire pour saboter l'État roumain. Retour.
Par la loi 119 du 11 juin 1948, l’État communiste roumain nationalise les entreprises industrielles, bancaires, d’assurances, minières et de transports, soit les principaux moyens de production de la Roumanie capitaliste d’avant. Parmi les usines ainsi saisies figuraient les Usines Malaxa, créées par l’industriel Nicolae Malaxa au début des années 1920.
Entre les XVIe et XIXe siècles, les Principautés Roumaines faisaient partie du monde culturel oriental dominé par l'Empire ottoman. Situées à la périphérie de la poussée expansionniste de l'islam, les principautés soutenaient les chrétiens du Levant à travers la parution des livres religieux. C’est ainsi que les premiers textes chrétiens orthodoxes en arabe ont vu le jour dans l’espace roumain.
En 1968, Ion Datcu, ancien ambassadeur de la Roumanie au Japon est nommé en poste en Australie, un mois après l’invasion soviétique de la Tchécoslovaquie. En 1994, il racontait dans une interview conservée par le Centre d’Histoire Orale de la Radiodiffusion Roumaine ses premières impressions à son arrivée en Australie.
Durant la Seconde Guerre mondiale, l’une des grandes batailles, tant par le nombre de pertes humaines que par ses effets sur l’ensemble de la guerre, fut la bataille de Stalingrad, qui s’est déroulée entre les mois d’août 1942 et février 1943.
Sport cérébral entre tous du fait de sa complexité et des exigences d’anticiper la stratégie de l’adversaire, les échecs demeurent un sport extrêmement populaire à travers le monde, la Roumanie n’en faisant pas exception. Histoire.
Le Banat est perçu par beaucoup comme un modèle de coexistence ethnique pacifique en Roumanie. Les Juifs du Banat ont vécu des siècles dans la tolérance avec la majorité et les autres minorités ethniques. Même pendant les sombres années des persécutions antisémites, ils ont trouvé assez de raison chez les autres pour garder leur foi dans l’humanité et la tolérance face à l’altérité.
Les premières élections parlementaires et présidentielles qui ont eu lieu en Roumanie après la chute du régime communiste ont été organisées le 20 mai 1990. Ces élections, remportées haut la main par le Front de Salut National (FSN) et par son candidat, Ion Iliescu, avaient donné à l’époque la mesure de la soif de démocratie et de l’implication de gens. Retour.