Les visites en Roumanie du Saint pape Jean-Paul II en 1999 et du pape François en 2019 ont été des événements religieux, mais aussi des repères historiques.
Une exposition d’exception qui réunit deux collections, dont l’une appartenant au musée de la ville de Bucarest et l’autre au musée de l’Université de Bucarest, et qui met en avant deux histoires liées l’une à l’autre : celle des graveurs de médailles et celle des collectionneurs.
La galerie d'art Galateca de Bucarest a récemment été la scène d'un événement théâtral hors du commun. Durant sept jours, du 15 au février, 505 acteurs se sont relayés à raison de trois par heure, 24h sur 24, pour interpréter 505 textes littéraires et dramaturgiques qui parlent du sentiment de vide et d'abandon. Le projet « Horror Vacui » (La phobie du vide) a été une première théâtrale mondiale. Découverte.
Le Pogrom de Bucarest a représenté une série de manifestations violentes et de crimes contre les Juifs, qui ont eu lieu durant la Rébellion légionnaire (de la Garde de fer) de janvier 1941. Il est considéré comme le plus grand et le plus violent pogroms contre les Juifs de Munténie. Cette même année, un autre pogrom, probablement le plus violent de l’histoire des Juifs de Roumanie, était organisé du 27 au 30 juin dans la région de Moldavie, 13.266 citoyens juifs roumains ayant été tués dans la ville d’Iași. Commémoration.
... une exposition récemment ouverte au Musée municipal Bucarest (MMB)
La Banque nationale de Roumanie (BNR) accueille, l'exposition « 145 années de relations diplomatiques entre la Roumanie et l'ltalie », qui a déjà été présentée à la Chambre des députés du Parlement de Rome en octobre dernier. Ce sont des photographies, documents des archives et vieilles monnaies italiennes, qui mettent en lumière les relations entre les deux pays, dont les liens diplomatiques remontent à 1879.
Direction la République de Moldova, pour découvrir un musée archéologique intéressant situé à Orheiul Vechi. Candidat pour figurer sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, ce complexe archéologique et muséal est une des principales attractions touristiques du pays voisin. Histoire.
Nous parlons théâtre expérimental vous présenter un spectacle du type performance réalisé par un groupe d’artistes européens sous l’œil attentif de la metteuse en scène roumaine Ioana Paun. Il explore la complexité des relations modernes, la vulnérabilité humaine ou encore les tensions émotionnelles amplifiées par le milieu en ligne. Un spectacle que le public de République tchèque et de Slovaquie a trouvé intense et provocateur. Le public roumain a pu aussi voir ce « performance » à la mi-septembre à Bucarest.
Le volume « Povestea Trenului Regal / L’Histoire du Train royal », écrit par Tudor Vișan-Miu et Andrei Berinde, est un voyage littéraire dans le passé et le présent de ce symbole de la Royauté en Roumanie.
Theodor Aman (1831-1891) a été un peintre, graphiste, sculpteur, pédagogue et académicien roumain, fondateur, aux côtés d’un autre grand artiste roumain Gheorghe Tattarescu, de la première école des beaux-arts de Bucarest. Dans l’histoire des arts plastiques roumains, Theodor Aman est le premier véritable artiste moderne, dont l’influence a accéléré l’ouverture à la modernisation culturelle et au développement artistique des institutions de culture des Principautés unies de Moldavie et de Valachie.
Une exposition se propose de mettre en lumière les résultats du travail des scientifiques sur les colorants naturels, ainsi que les modalités dont ces substances constituent une ressource dans l’art contemporain et créent une connexion entre les tissus contemporains et traditionnels par le biais des colorants. A découvrir au Musée national d’histoire de la Roumanie (MNIR).
Toute grande ville a un kilomètre 0, où commencent le calcul symbolique et physique des distances et l’organisation de l’espace urbain. Dans le cas de Bucarest, ce point se trouve sur la vieille rue Colțea, où la ville actuelle semble avoir eu sa source.
Ce deuxième long-métrage écrit et réalisé par Andrei Crețulescu, compte sur le talent de quatre acteurs de premier rang de la nouvelle vague du cinéma roumain. Composé de trois parties filmées en plans-séquences, le film est un mélange de genres et de styles cinématographiques qui racontent une histoire sur le comment (ne pas) faire un film.
Les photos réalisées par Franz Duschek, un remarquable photographe tchèque qui a vécu et travaillé à Bucarest de 1862 à 1883, proposent une vision unique sur les transformations sociales et urbaines de la ville au 19e siècle. Voyage dans le passé.
Dans le cadre du projet artistique multidisciplinaire « Connaitre le monde », le groupe de comédiens « Vanner Collective » a proposé une série d’activités visant à développer l’expressivité des personnes en situation de handicap. Comment rapprocher les personnes handicapées de leur propre expressivité? Enquête.