L’archéologie étudie le passé de la société humaine en récupérant et analysant la culture matérielle et les informations fournies par les artefacts, les documents, l’architecture ou les paysages culturels découverts. Autrement dit, elle cherche à déchiffrer le mode de vie, les croyances et les coutumes des temps passés, en étudiant les traces disponibles de nos jours.
Symbôle de la révolution anti-communiste de 1989, la ville a été désignée en 2023, capitale de la culture européenne.
« Le Jour du Roi ou de la Royauté », a représenté le Jour national de la Roumanie, célébré le 10 mai entre 1866 et 1916 et ensuite de 1918 à 1947.
Le projet artistique d’Alex Manea est une démarche complexe dont le point de départ est l’idée que l’ouverture à l’influence des œuvres d’autres constitue un véritable noyau de la création artistique. "Influences".
En 1985, en pleine Roumanie communiste, alors que l’espace public se fermait progressivement à toute expression artistique authentique, cinq peintres ont décidé de faire de l’art une forme subtile de résistance.
Les visites en Roumanie du Saint pape Jean-Paul II en 1999 et du pape François en 2019 ont été des événements religieux, mais aussi des repères historiques.
Historien, critique littéraire, documentariste, dramaturge, poète, Nicolae Iorga (1871-1940) a été une des personnalités les plus importantes de la culture roumaine. Mais Nicolae Iorga a présenté aussi une émission à la radio publique roumaine, « Conseils dans le noir », lancée en mars 1929.
D’ici la fin août, le musée de la Municipalité de Bucarest attend ses visiteurs à l’exposition « Le portrait : image et réflexion » accueillie par un des plus beaux bâtiments de la ville : le Palais Suțu.
Une exposition d’exception qui réunit deux collections, dont l’une appartenant au musée de la ville de Bucarest et l’autre au musée de l’Université de Bucarest, et qui met en avant deux histoires liées l’une à l’autre : celle des graveurs de médailles et celle des collectionneurs.
La galerie d'art Galateca de Bucarest a récemment été la scène d'un événement théâtral hors du commun. Durant sept jours, du 15 au février, 505 acteurs se sont relayés à raison de trois par heure, 24h sur 24, pour interpréter 505 textes littéraires et dramaturgiques qui parlent du sentiment de vide et d'abandon. Le projet « Horror Vacui » (La phobie du vide) a été une première théâtrale mondiale. Découverte.
Le Pogrom de Bucarest a représenté une série de manifestations violentes et de crimes contre les Juifs, qui ont eu lieu durant la Rébellion légionnaire (de la Garde de fer) de janvier 1941. Il est considéré comme le plus grand et le plus violent pogroms contre les Juifs de Munténie. Cette même année, un autre pogrom, probablement le plus violent de l’histoire des Juifs de Roumanie, était organisé du 27 au 30 juin dans la région de Moldavie, 13.266 citoyens juifs roumains ayant été tués dans la ville d’Iași. Commémoration.
... une exposition récemment ouverte au Musée municipal Bucarest (MMB)
La Banque nationale de Roumanie (BNR) accueille, l'exposition « 145 années de relations diplomatiques entre la Roumanie et l'ltalie », qui a déjà été présentée à la Chambre des députés du Parlement de Rome en octobre dernier. Ce sont des photographies, documents des archives et vieilles monnaies italiennes, qui mettent en lumière les relations entre les deux pays, dont les liens diplomatiques remontent à 1879.
Direction la République de Moldova, pour découvrir un musée archéologique intéressant situé à Orheiul Vechi. Candidat pour figurer sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, ce complexe archéologique et muséal est une des principales attractions touristiques du pays voisin. Histoire.
Nous parlons théâtre expérimental vous présenter un spectacle du type performance réalisé par un groupe d’artistes européens sous l’œil attentif de la metteuse en scène roumaine Ioana Paun. Il explore la complexité des relations modernes, la vulnérabilité humaine ou encore les tensions émotionnelles amplifiées par le milieu en ligne. Un spectacle que le public de République tchèque et de Slovaquie a trouvé intense et provocateur. Le public roumain a pu aussi voir ce « performance » à la mi-septembre à Bucarest.