Aujourd’hui nous vous proposons de nous rendre au bord du Danube, dans la ville portuaire de Drobeta-Turnu Severin, chef-lieu du département de Mehedinți, au sud-ouest de la Roumanie. La ville est sise sur la rive gauche du grand fleuve, à la sortie du défilé de Cazane, à l’extrémité-ouest de la région d’Olténie.
Ecrivaine camerounaise reconnue pour ses romans puissants et engagés, Hemley Boum a été récompensée en 2025 du Prix des Cinq Continents de la Francophonie pour son roman « Le rêve du pêcheur ». Fin octobre, Hemley Boum se trouvait à Bucarest, pour rencontrer le public francophone roumain. Entretien.
Le mois de novembre est marqué, tant en Roumanie que dans d’autres pays où la tradition byzantine est respectée, par plusieurs fêtes à l’occasion desquelles des pèlerinages importants sont organisés. Nous découvrons l’histoire du Saint Ménas, un des saints les plus connus non seulement en Roumanie, mais aussi en Grèce et en Egypte. Histoire et légendes.
Un livre autobiographique, percutant comme un coup de poing.
Découvrez la capitale roumaine, telle qu'elle est vue par Adèle Vieilhomme, étudiante française.
Aujourd’hui nous parlons société civile et nous décortiquons le livre « La fin de la société civile ? » récemment paru aux éditions l’Harmattan dont l’auteur a toujours osé proposer des alternatives à la pensée traditionnelle.
Depuis le 1er janvier 2025, aux côtés des autres Etats-membres de l'Union européenne, la Roumanie s’aligne sur une nouvelle directive visant à lutter contre la pollution massive générée par l'industrie textile, rendant obligatoire la collecte sélective des déchets textiles, une étape essentielle vers une économie circulaire.
Au début de l’automne, l’écologie était à l’honneur à Bucarest, qui a accueilli Greentopia, un festival innovant et dédié aux solutions durables.
Un roman sur une double disparition, celle de la poésie et celle de la mère.
Hildegard Leloué s’est exprimée au micro d’Eugen Cojocariu de RRI.
Après le pèlerinage organisé chaque année à Iasi, à l’occasion de la fête de la Saint Parascève, les chrétiens orthodoxes ont l’occasion de célébrer à nouveau une fête importante, celle du protecteur de la capitale Bucarest. Nous vous invitons donc à découvrir les origines de cette nouvelle célébration.
Mentionné pour la première fois en 1408 dans un document issu par la chancellerie du prince régnant de Moldavie, Alexandru le Bon, la ville a acquis une importante dimension économique après la décision du prince Alexandru Lăpuşneanu d’y installer, en 1565, la capitale de la principauté, un statut maintenu jusqu’en 1862, année de l’union administrative des principautés de Moldavie et de Valachie.
Le musée occupe en fait la maison-atelier que l’artiste a fait construire, s’inspirant des maisons-ateliers des peintres français qu’il avait rencontrés. À l’intérieur l’on peut admirer une très belle collection de toiles que le grand maître roumain avait réalisées au cours de sa vie. La première salle d’expositions est aménagée dans l’ancien atelier de l’artiste, la plus spacieuse pièce de la maison, qui accueille la plus grande partie de la collection du musée.
Docteur en philosophie, David Meulemans est le président des éditions "Les forges du vulcain". Il a été invité en Roumanie, à Brasov, au Festival de littérature Nod.
La Sainte Parascève est devenue une figure spirituelle majeure en Roumanie, dont la brève vie d'ascèse (27 ans) a donné naissance à un culte populaire très puissant, particulièrement visible dans le pèlerinage annuel de Iași.