En 1985, en pleine Roumanie communiste, alors que l’espace public se fermait progressivement à toute expression artistique authentique, cinq peintres ont décidé de faire de l’art une forme subtile de résistance.
De plus en plus débattu ces derniers temps, le changement climatique reste un sujet propice aux mythes et au greenwashing, ou écoblanchiment. Toutefois, de l’avis des experts, à commencer par l’empreinte personnelle de carbone et jusqu’aux solutions techniques miraculeuses, les grand compagnies polluantes investissent dans une fausse information du public, afin de ne pas opérer les changements qui s’avèrent vraiment nécessaires. Mythes et réalités autour du changement climatique.
Chaque année, le premier dimanche après la Pâque orthodoxe, dans le quartier de Șchei de Brasov, touristes et habitants de la ville participent à un événement traditionnel unique qui réunit des rituels pré-chrétiens et des cérémonies religieuses, célébrant le printemps et le renouveau de la nature ainsi que les traditions ancestrales. Résultat : un défilé équestre unique à travers la ville.
Les visites en Roumanie du Saint pape Jean-Paul II en 1999 et du pape François en 2019 ont été des événements religieux, mais aussi des repères historiques.
Le 29 avril la danse était à l’honneur à travers le Monde à l’occasion de la Journée internationale de la danse.
De nombreux économistes ont tiré la sonnette d’alarme : les mesures adoptées par les Etats-Unis pourraient ralentir l’économie mondiale, accroître le risque de récession et alourdir le coût de la vie pour les familles américaines de plusieurs milliers de dollars par an.
En 1949, Nicolae Fotino était nommé premier secrétaire de l’ambassade de Roumanie à Prague. Il avait déjà connu Prague alors qu’il participait au grand Congrès Mondial des Étudiants de 1945. En 1995, Fotino se souvenait, lors d’un entretien conservé par le Centre d’Histoire Orale de la Radiodiffusion Roumaine, de cette rencontre avec la Tchécoslovaquie d’alors
Estimée auparavant à 8.000 exemplaires, la population d'ours bruns atteint aujourd’hui un nombre de près de 13.000. C’est ce que révèle un recensement inédit, présenté récemment par les autorités roumaines.
La contrée de Maramures est un haut lieu de traditions en Roumanie, mais elle est aussi connue comme une destination touristique idéale !
En Roumanie, cette fête mêle spiritualité orthodoxe et traditions populaires millénaires, notamment dans les villages de Bucovine, au nord du pays, où la teinture d’œufs selon des techniques ancestrales reste une pratique vivace et reconnue à l'internationale.
Dans le nord de la Roumanie, entre les départements de Maramureș et Bistrița-Năsăud, nichée dans une région montagneuse aux paysages spectaculaires, se trouve une ligne de chemin de fer qui a marqué à la fois l’histoire des chemins de fer roumains et celle du régime communiste : c’est la voie ferrée qui relie Salva, située dans le département de Bistrița-Năsăud, aux localités de Vișeu de Jos et Vișeu de Sus, dans le Maramureș. Histoire.
Le gaz de la mer Noire signifie liberté, c’est-à-dire une vingtaine de milliards d’euros dans la poche des Roumains, voire plus, a déclaré le ministre de l’Energie, Sebastian Burduja, qui a salué les premiers forages dans le périmètre Neptun Deep en mer Noire. C’est l’investissement dans le secteur énergétique le plus important de Roumanie. Sécurité énergétique pour la Roumanie et l’Europe.
C’est par le biais de toute une série d’événements et de projections de films documentaires que le festival One World Romania explore depuis 18 ans déjà les différentes formes de résistance communautaire. One World Romania est l’unique festival du film documentaire et des droits de l’Homme de Roumanie. Cinéma et Humanité.
Autrefois chauffeur de rallye, aujourd’hui formateur en matière de conduite automobile défensive, Titi Aur est connu de tous en Roumanie, entre autres pour son Académie de conduite automobile préventive
Avant 1989, les Roumains regardaient avec envie leurs voisins yougoslaves. Bien que communiste, Josip Broz Tito, le dirigeant yougoslave, faisait figure de libéral dans un monde verrouillé par le contrôle de l’Etat sur la société. Voyager librement vers l’Occident, posséder un petit commerce, accéder à des biens de consommation, tout cela semblait à portée de la main de l’autre côté du Danube. Des produits de première nécessité venus de Yougoslavie disparaissaient en un clin d’œil des étals roumains. Et les émissions de la télévision yougoslave, captées en Roumanie, étaient suivies avec passion.