 
                                    Dans les mois qui ont suivi la chute du régime communiste, la bataille entre les partisans d’une société démocratique, arrimée à l’Ouest, et les partisans d’un statu quo et d’une société aux libertés limitées a fait rage. Le peuple de Timișoara, cette ville où la révolution débuta à mi-décembre 1989, donnera naissance à la société « Timișoara » qui rédige au mois de mars 1990 la célèbre proclamation qui portera le nom de la ville. Manifeste politique et civique, le document esquissait la voie souhaitée pour une Roumanie démocratique, moderne et occidentale, départie de son passé de dictature.
 
                                    Entre paysages grandioses, faune préservée et traditions vivantes, Vama Buzăului s’impose comme une destination idéale pour une escapade loin de l’agitation urbaine. Que ce soit pour une découverte de la biodiversité, une randonnée en pleine nature ou une immersion dans le folklore local, ce lieu unique promet une expérience inoubliable.
 
                                    La deuxième édition du Festival international du film FILMIKON a présenté une sélection de productions récompensées par des jurys œcuméniques et inter-religieux à une trentaine de festivals du film à travers le monde et les années ; elle a aussi facilité un dialogue sur les valeurs chrétiennes et humaines à partir de ces productions.
 
                                    La Commission européenne à récemment mis sur la table ReArm Europe le nouveau plan de réarmement européen en mesure de mobiliser des fonds s’élevant jusqu’à 800 de milliards d’euros dans les 4 prochaines années. Les Etats membres pourront par ailleurs prendre davantage de libertés dans le respect des règles en matière de déficit budgétaire dans le domaine de la défense et pourront réorienter des fonds initialement voués au développement régional aux investissements militaires.
 
                                    L’une des dates les plus sombres de l’histoire contemporaine de la Roumanie est celle du 6 mars 1945. Car c’est bien ce jour-là que sous la pression de l’émissaire soviétique Andrei Vychinski le premier gouvernement à majorité communiste, dirigé par Petru Groza, sera imposé au roi Michel. Ce gouvernement sera responsable du processus de soviétisation du pays, transformant une nation libre et démocratique en un État répressif et totalitaire. Le gouvernement Groza allait bientôt nationaliser les usines et les commerces, les infrastructures et une grande partie de logements privés. Il allait dissoudre les partis politiques et jeter en prison des centaines de milliers de personnes de tous âges et de toutes conditions sociales. Retour.
 
                                    Fin février, Bucarest a accueilli la 51e édition de la Foire de tourisme de la Roumanie. L’occasion de présenter au grand public les plus belles destinations du pays et les meilleures offres pour cette année, y compris des réductions de prix très intéressantes. En voici quelques exemples.
 
                                    Transmettre l'histoire d'un pays, c'est tout un art, et le devoir de mémoire est essentiel ! Qui de mieux que vos gands-parents pour se lancer dans cette aventure ?
 
                                    A la fin des années 1960, l'émission "Reflector/ Réflecteur" était censée mettre sur la sellette les dysfonctionnements présents dans certains domaines de la vie de la société socialiste de la Roumanie d’alors.
 
                                    Autrefois atelier de couture, cette petite entreprise familiale continue de croître et de se faire connaître, en Roumanie et à l'étranger. Une success story à la roumaine qui mérite d'être racontée et partagée !
 
                                    La triste notoriété d’Aiud, petite ville du Maramures, région située au nord de la Roumanie près de la frontière avec l’Ukraine, a abrité probablement la plus importante prison politique des années noires du régime communiste de Roumanie. Retour.
 
                                    Voici l’histoire de l’emblématique Casino de Constanța, symbole de la plus grande ville-port sur la mer Noire, ville fondée par les colons grecs de l’Antiquité, sous le nom de Tomis. Le nom de cette localité est également lié à la légende des Argonautes et notamment à l’exile du poète latin Ovide.
 
                                    La galerie d'art Galateca de Bucarest a récemment été la scène d'un événement théâtral hors du commun. Durant sept jours, du 15 au février, 505 acteurs se sont relayés à raison de trois par heure, 24h sur 24, pour interpréter 505 textes littéraires et dramaturgiques qui parlent du sentiment de vide et d'abandon. Le projet « Horror Vacui » (La phobie du vide) a été une première théâtrale mondiale. Découverte.
 
                                    Andreea Cătălina Drăghici, muséographe au Musée National d'Histoire Naturelle « Grigore Antipa » de Bucarest et auteure d’une étude qui recense les différentes espèces de coléoptères présentes en Roumanie, nous explique le contexte de la découverte de nouvelles espèces de coléoptères en Roumanie
 
                                    En 2021, huit employés roumains sur dix ont déclaré qu'ils prévoyaient de continuer à travailler après leur retraite. Pour mieux comprendre cette réalité roumaine, nous nous sommes entretenus avec Sorina Faier, spécialiste des ressources humaines, qui compte plus de 17 ans d'expérience dans ce domaine.
 
                                    L’historienne Speranța Diaconescu ancienne fonctionnaire à l’Office culturel national de Bucarest raconte dans une interview de 1997, conservée par le Centre d’histoire orale de la Radiodiffusion roumaine, la manière que le régime communiste de l’époque a utilisée pour mettre à terre nombre de lieux de culte.